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Obésité et désordre environnemental lié à la surproduction

30% des français sont en surpoids

10% des adultes présentent un syndrome métabolique (=insulino résistance)

15% des adultes souffrent de diabète de type 2 (prévalence en augmentation de 6% par an)



Mercredi 30 juin 2021, la Ligue contre l’obésité publie les résultats d’une enquête nationale qui montre qu’environ 8,5 millions d’adultes en France (17 %) ont un indice de masse corporelle (IMC, un indicateur de corpulence) supérieur à 30 – au-delà duquel on parle l’obésité –, contre 15 % en 2012. Au total, près d’un Français sur deux (47 %) est soit en surpoids, soit en situation d’obésité. Cette dernière est un peu plus marquée chez les femmes (17,4 %) que chez les hommes (16,7 %), mais ces derniers sont davantage sujets au surpoids (36,9 %, contre 23,9 % des femmes).


Le syndrome métabolique se définit par une baisse progressive de la sensibilité à l’insuline, une augmentation du ratio tour de hanche/tour de poitrine. Ces signes, que l’on pourrait associer à un caractère « jovial et bon vivant », cachent une réalité plus sombre. En effet, le risque cardiovasculaire et le risque d’AVC s’en trouvent augmentés. Plus exactement le risque cardiovasculaire est multiplié par trois.


L’OMS parle d’épidémie (en augmentation depuis la crise Covid19)


“La nourriture a laissé la place à la «bouffe», l’homme se «rempli» afin de se sentir exister, d’avoir une vie sociale, compenser les variations émotionnelles…”

Moins d’achat en grande surface et moins de produits transformés.


Depuis des décennies, les industriels s’acharnent à trouver des astuces « chimiques », pour modifier l’odeur, la couleur, le goût et la texture des aliments, et bien sûr le coût. Ce qui va de pair avec les produits préparés, transformés. Malheureusement, le temps que nous consacrons à la préparation des repas ne cesse de diminuer. Le fléau qui se cache derrière ces produits manufacturés, c’est qu’ils ne sont pas toujours de grande qualité nutritionnelle, sont remplit d’additifs (de différentes propriété et origines), et leur coût est lourd pour le porte-monnaie (si nous faisons le calcul du prix au kilo)


Les conservateurs empêchent le développement des micro-organismes pathogènes. Avec ces mesures, on détruit aussi, parfois, les bonnes bactéries, c’est le cas de la pasteurisation.


Pensez-vous qu’une pomme produite en intensif, ayant déjà subi pesticides et autres engrais, ayant ensuite passé deux ou trois saisons en chambre froide, soit un bon aliment pour notre organisme et ses besoins en vitamines et autres ?


Si la grande surface est une nécessité : lisez les étiquettes et les labels de qualité !

Un certain nombre d’additifs sont suspects ou dangereux et il convient de les éviter.


Label de qualité comme : AOC, Label Rouge, Agriculture biologique AB, Fairtrade, nutri-score, bleu blanc cœur…


Réaliser le plus possible soi-même la préparation des aliments ; c’est plus sûr, plus savoureux, apporte des vitamines et nutriments et beaucoup plus économique !


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